EN L’AN 2022 JUANCULADO GILLIPOLLAS AKA DOM QUICHIOTTE DE LA MELENCHE VIENT RENDRE COMPTE DE LA BATAILLE QUE LA NUPES A ENGAGEE CONTRE LES FORCES DU MAL
Sous moi donc voila que les insoumis s’avancent.
De la troupe Alexis a déjà pris la tête
Il avance haut et fier brandissant sa quéquette
Lui emboitant le pas , voici que sa rombière
Crie à tous haut et fort qu’elle ne suce que Corbière
Qu’on n’est digne d’un héros que dès lors qu’on avale
N’en déplaise à Marlene, la prétendue vestale
Coqueraide n’est pas loin, lui dont l’œil aiguisé
Peut flairer à la trace les ribaudes à niquer
Rapide comme l’éclair des qu’il voit une ânesse
Il lui colle sans tarder une bonne main aux fesses
Au milieu de la troupe une tignasse rousse
Voila donc Quatennens qui n’a jamais la frousse
Car voyant une ribaude qui refuse qu’on la trousse
Il lui colle aussitôt de sa main une rouste
Qu’il s’agisse à Meluche de sucer la carotte
Ou bien à la Raquel de ramasser les crottes
Le chevalier Boyard sans beurre et sans brioche
N’entend pas tolérer qu’on le tienne pour une cloche
Voila qu’aux insoumis se joignent les escrolos
Emmenés fièrement par Sardine Rousseau
Qui proclame haut et fort que l’ennemi s’inquiete
Car elle va leur couper les couilles et la quequette
Il est vrai qu’en cachette la terrible Sardine
Est souvent mieux connue en tant que Roussepoutine
Clone infame du moine de sinistre mémoire
Partout où elle passe elle seme le désespoir
Et je ne parle pas de la bande à Keke
Que la fiere Obono harangue sans tarder
En la mettant en garde contre le préjudice
Qui comme chacun le sait est père de tous les vices.
Elle crie à ses ouailles taïaut mangez vos morts
Devant elle sans doute tremblerait Voldemort
Il nous faut maintenant débusquer l’ennemi
L’ennemi est un porc c’est dans la porcherie
Oui dans la porcherie que vit la bête immonde
Celle qui répand partout le péché à la ronde
Et le combat s’engage, nous parviennent les cris
Des fachos et réacs bientôt à l’agonie
La sardine hurle fort une bite à la bouche
Elle arbore son trophée avec un oeil farouche
Au cœur de la bataille, l’immense Melenchon
Hurle mort aux fachos défonçons leur le fion
La victoire s’annonce, elle répand l’allégresse
Et chacun se prépare à célébrer l’ivresse
On débouche quelques litres de gros rouge qui tache
Quand on est bien bourré on excelle à la tâche
Mais la troupe est soudain envahie de mollesse
Elle coupait têtes et queues, elle embrochait les fesses
La Raquel me murmure qu’elle a vu dans un coin
Donald Trump en personne, le monstre n’est pas loin
Peut être ajoute-telle est ce même le vaudou
Qui comme à l’habitude vient nous chercher des poux
On implore les mânes de Mao , de Pol pot
On invite même Staline à goûter la popotte
Rien n’y fait, nous comptons les premières victimes
Que l’ennemi infâme massacre et décime.
Boyard qui est souvent sujet à la diarrhée
Et craignant de sa fiente arroser notre armée
A sorti de sa poche sa boite de vermifuge
Garantie Smectalia dévoile le subterfuge
Aux bouteilles de gros rouge , de ce rouge qui tache
Et nous donne à chacun de l’ardeur à la tache
Quelqu’un a sournoisement substitué du bromure
L’auteur de ce forfait cette sinistre raclure
Est vite identifié.C’est clairement la rombière
La poufiasse emplumée au rictus de sorcière
Je veux dire la Coffin la monstrueuse Alice
A la culotte fendue pour évacuer sa pisse
La nouvelle tombe en fin et nous laisse attérrés
Boyard dans son pot de chambre tout à l’heure s’est noyé
On avait bien connu la Raie publique en merde
Mais il aura fallu pour que rien ne se perde
Que le chef des Velrans qui croyait faire la une
Connaisse en fin de compte le sort de Migue la Lune
ET voici que s’éloigne bien que serrant les fesses
Retenant sa diarrhée l’armée de la Nupes
Le combat cessa bien faute de cons battants
Il ne reste de l’armée qu’une bande d’ânes bêlants