Voici ce qu’aurait écrit l’auteur du CI s’il avait connu Veran et Boyard (respectivement le Comte et Rodrigue)
BOYARD
A moi le con, deux mots
VERAN
Cause
BOYARD
D’abord va te faire foutre
Connais tu bien Meluche
VERAN
Cette cruche
BOYARD
Ecoute ma pauvre croute
Sais tu que ce héros, parangon de vertu
Pourrait sans hésiter botter ton vilain cul
VERAN
Pouet pouet
BOYARD
Ce branleur qui a tes yeux est Porte
Sais tu qu’il en descend : trou du cul
VERAN
A la porte
BOYARD
A quatre pattes ici je te le dis connard
VERAN
Jeune trou du cul merdeux
BOYARD
Ramasse ton pétard
Je suis jeune il est vrai mais aux ânes bâtés
Le branleur n’attend pas pour être patenté
VERAN
Te mesurer à moi, toi qui n’est pas malin
Tu peux juste tenir ma bite dans ta main
BOYARD
Si mes oreilles c’est vrai me font à tous connaitre
Saches que mon bonnet d’âne je le dois à mon maître
VERAN
Tu cherches des ennuis
BOYARD
Au seul bruit de ton nom tous rigolent de toi
Les palmes dont tes mains et tes pieds sont couverts
Témoignent de ta gloire chez les canards col vert
Crains pauvre temeraire le fusil des chasseurs
Tu peux bomber le torse me faire un bras d’honneur
Comme ton garde des sots dérisoire et risible
Avec un doigt dans le cul combattre c’est pénible
VERAN
Cette ardeur que tu tiens chaque fois que tu te bourres
C’est celle des crétins et pas de la bravoure
Quand tu penses chaque jour que tu prends la Bastille
Chacun constate hélas tu as perdu aux quilles
Car croyant voir en toi le chevalier Bayard
Tu te trompes n’étant que le nul à chier Boyard
Sans beurre et sans brioche tout au fond de l’abime
Où seuls quelques blaireaux t’accordent leur estime
Ton maitre cherchait il un crétin si parfait
Il peut être ravi du choix qu’il aura fait
Tu étales ta bêtise mais malgré ta jeunesse
Tu es le doyen des blaireaux de la Nupes
Tu sens le pet foireux, ton haleine est fécale
A ta vue c’est certain, même les rats détalent
Si tu peux faire honneur c’est sur un champ de foire
Car combattre un débile c’est un combat sans gloire
Celui qui sans efforts a abattu un porc
Ne saurait ressentir le regret de sa mort
BOYARD
Ton audace fait pitié ,celle dont tu te conchies
Car ton sens de l’honneur rase les pissenlits
VERAN
Casses toi car tu pues
BOYARD
Mais marches à l’ombre
VERAN
T’as déjà lu un livre ?
BOYARD
Oui la guerre des croutons
VERAN
Il te reste à chialer ,si jamais tu l’as lu
Saches que tous les Verans ne sont pas des peigne cul